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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 07:19

 

Bref historique :http://daclem.com/joomla/images/stories/hospitality/terminal2-aout2008.jpg

 

1946 Ouverture de l’Aéroport de Nice Côte d’Azur à la navigation commerciale.

1956 La Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur devient concessionnaire de l’Aéroport Nice Côte d’Azur.

1966 La Chambre de Commerce et d’Industrie devient concessionnaire de l’Aéroport Cannes-Mandelieu.

1992 Inauguration du nouveau Terminal 1 et de la Tour de Contrôle.

2002 Inauguration du nouveau Terminal 2 (photo ci-contre)

 L’aéroport Nice Côte d’Azur fête son 10 millionième passager.

 


 

L'aéroport Nice-Cote d'Azurhttp://www.saintmartinvesubie.fr/img-rub/AEROPORT_NICE_COTE_D_AZUR.jpg

 

En 2008 les Aéroports de la Côte d’Azur sont entrés dans une nouvelle gouvernance en devenant une société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance.

Aujourd’hui, l’aéroport Nice-Côte d’Azur est le deuxième aéroport de France avec 103 destinations directes et 55 compagnies régulières. En ce début 2011, l’aéroport de Nice améliore encore ce résultat en offrant 104 destinations en vol direct sur 57 compagnies, dont la compagnie qatarie Qatar Airways qui vole depuis Nice vers Doha. Trente-cinq pays seront reliés à Nice cet été pour la haute saison. En vols intérieurs, trente-quatre liaisons quotidiennes sont d'ores et déjà assurées entre Nice et Paris (vingt-six avec Orly et huit avec Roissy).

L’aéroport de Nice est aussi le seul aéroport régional à proposer un aller-retour quotidien sur New-York et Dubaï et le premier aéroport « low-cost » en province, avec près de trois millions de passagers et 17 compagnies en 2010.

Il accueille enfin une clientèle d’aviation d’affaires importante, troisième aéroport européen après Le Bourget et Genève, dans un terminal récemment inauguré.

 

Trois grands projets de superstructures en cours de réalisation sont très visibles sur la plate-forme azuréenne:

 

- le Car Rental Centre, un bâtiment de 60 000m2 sur trois niveaux. La fin des travaux est prévue pour juin 2011.

- un nouveau parc de stationnement P6 d’une capacité de 2 600 places, qui est destiné à la fois au public et au personnel et qui sera également terminé en juin 2011.

- Une nouvelle passerelle double de 400m2 qui permettra de réaliser des embarquements pour un très gros porteur (A380 par exemple) ou deux moyens porteurs (type A320). Cet équipement augmentera de 1 500m2 la salle d’embarquement international du Terminal 2. Les travaux devraient s’achever en septembre 2011.


http://static.panoramio.com/photos/original/2483458.jpg

 


Qu’en est-il de l’aumônerie ?

 

En 1997/98, les autorités aéroportuaires ont pris contact avec les communautés religieuses pour la mise en place d’un espace de prière au sein de l’aéroport. C’est le pasteur David MacKain, alors pasteur à Nice, qui assura les négociations avec les autorités civiles, catholiques et orthodoxes. Une structure associative dénommée ICHTUS fut créée pour pouvait ainsi faire l’interface entre les églises et l’aéroport. Ainsi, l’aumônerie niçoise est fondamentalement œcuménique.

 

 Dans le Terminal 1, le centre de prière inter-religieux est ouvert depuis le printemps 2003. Il comprend un bureau d’accueil et trois salles : une chapelle pour les trois confessions chrétiennes, une synagogue pour les israélites et une mosquée pour les musulmans.

L’ Espace prière au Terminal 2 fut inauguré pendant la 41ème Conférence Internationale des aumôniers d’aéroport qui eut lieu à Nice en septembre 2008. Sa géographie est la même que celle du Terminal 1, un bureau d’accueil et trois salles dédiées aux trois religions monothéistes. L’accueil est assuré par des bénévoles des différentes églises qui ont une formation à l’écoute.

 

Mon action à l'aéroport

 

Depuis la création de l’Espace Prière du Terminal 1 en 2003, j’ai assuré l’accueil à l’aéroport de Nice. A la suite d’une formation plus poussée et à la demande de mon pasteur de l'Église Réformée d’Antibes, j’ai été nommée en septembre 2007 chargée de Mission afin de représenter l’aumônerie protestante au sein des instances aéroportuaires locales. Mon rôle est d’être attentive à la vie de l’aéroport, à l’écoute des personnes rencontrées, en relation avec les autorités civiles, militaires et aéroportuaires. Je dois consacrer huit heures par semaine à cette mission et je suis également une bénévole à mi-temps. Ma journée de travail est le lundi. Je suis présente le matin au Terminal 1 et l’après-midi au Terminal 2. Je fais toujours u

n tour dans chaque terminal et salue les personnes, celles rencontrées parmi le personnel de ménage, les SDF en attente de jours meilleurs, les personnes de la sécurité. Je fais des méditations à la Chapelle et y dépose des prières à l’usage des voyageurs. Je demande à Dieu de me guider dans mon travail et de mettre sur mon chemin ceux qui sont en souffrance. Quelques personnes viennent vers moi et alors quelle joie. Je remercie le Seigneur.

Mais mon travail c’est d’aller vers les autres, d’ être là au bon moment et disponible, à l’écoute. Il me reste encore beaucoup de monde à rencontrer surtout dans le personnel des compagnies aériennes et les chefs d’escale. C’est un travail de longue haleine.

 

Mes projets

 

J’aimerais élargir l’équipe des bénévoles protestants du bureau d’accueil par des liens avec les églises protestantes locales et régionales. Mon rêve serait d’établir un culte mensuel.

 

Christiane Fisher, chargée de mission Aumônerie Aéroportuaire, église réformée d'Antibes

 

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 13:34

http://www.armenews.com/IMG/arton69235-480x366.jpg

 

L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a jugé que l’ouverture d’un aéroport dans la région séparatiste azerbaïdjanaise du Nagorny Karabakh, soutenue par l’Arménie, aggraverait les tensions régionales.

L’ouverture de l’aéroport "pourrait conduire à des tensions accrues" a estimé dans un communiqué le groupe de Minsk de l’OSCE, le médiateur du conflit azerbaïdjano-arménien autour du territoire rebelle, souhaitant un accord sur la reprise des liaisons aériennes civiles.

L’Azerbaïdjan a menacé mi-mars d’abattre les avions civils arméniens survolant le Nagorny Karabakh si les autorités séparatistes rouvraient l’aéroport.

En retour, le président arménien Serge Sarkissian a prévenu qu’il serait à bord du premier vol commercial à destination de cette région.

Les autorités du Nagorny Karabakh, territoire peuplé majoritairement d’Arméniens, ont récemment annoncé leur intention de relancer en mai des vols commerciaux après la reconstruction de l’aéroport, qui est fermé à la suite d’un conflit militaire au début des années 1990.

Rattaché à l’Azerbaïdjan pendant la période soviétique, le Nagorny Karabakh a proclamé son indépendance, non reconnue par la communauté internationale, après une guerre qui a fait 30.000 morts et des centaines de milliers de réfugiés entre 1988 et 1994.

Un cessez-le-feu a été signé en 1994, mais Bakou et Erevan n’arrivent pas à se mettre d’accord sur le statut de la région qui reste une source de tensions dans le Caucase du Sud, une zone stratégique située entre l’Iran, la Russie et la Turquie.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 09:56

http://www.ladepeche.fr/content/photo/biz/2011/04/14/201104142065_w350.jpgClaude Terrazzoni, président de l'Union des Aéroports Français (UAF) est au cœur du processus d'ouverture du capital des aéroports.

Pourquoi l'état veut-il se désengager du capital des aéroports ?

En 2003, l'Europe a mis en demeure la France de changer le statut des aéroports pour les faire passer en sociétés anonymes. Les grands aéroports de province sont devenus des sociétés de droit privé avec l'état comme actionnaire de référence avec 60 % des parts aux côtés des collectivités locales (15 %) et de la Chambre de commerce et d'industrie (25 %). Aujourd'hui, l'état cherche des financements et veut se désengager.

Doit-on craindre ce processus de privatisation ?

L'état va lancer ses appels d'offre pour trouver des repreneurs. S'il n'a pas de vision stratégique, il fera gagner le plus offrant et c'est le marché qui dictera sa loi. L'Union des aéroports français a clairement fait entendre sa voix dans un livre blanc. Nous disons oui à l'ouverture du capital en privilégiant une majorité publique et surtout nous voulons des investisseurs de long terme, pas des prédateurs !

 

Les collectivités locales qui souhaitent augmenter leur participation pourront-elles le faire ?

C'est une très bonne chose de voir les collectivités monter au capital. Ce sera un très bon investissement pour elles. Pour financer cet achat de parts, elles emprunteront mais toucheront des dividendes pour rembourser. Et dans trente ans, elles seront à la tête d'un actif dont la valeur aura été multipliée par deux ou trois. Mais il faudra aussi ouvrir le capital à hauteur de 5 % aux salariés de l'aéroport.

Quel intérêt un grand groupe a-t-il à investir dans l'aéroport de Toulouse ?

Les grands groupes comme Vinci qui peuvent être intéressés pour montrer leur savoir-faire dans la conception, la construction et l'exploitation d'un grand aéroport. Avec cette expérience, ils pourront ainsi conquérir des parts de marché à l'étranger notamment en Chine où un aéroport nouveau ouvre ses portes chaque mois.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 09:48

http://www.midilibre.com/img/photos/biz/diaporama/1587102/aeropuerto.jpg

 

 

Après Nîmes, la société décroche Carcassonne. Elle brigue à présent Perpignan et lorgnerait aussi Montpellier. Un deuxième aéroport du Languedoc-Roussillon qui entre dans son escarcelle. Après avoir pris la gestion de la plate-forme de Nîmes, Véolia Transport doit officiellement se voir confier l’exploitation de celle de Carcassonne.

C’est aujourd’hui, en effet, que le conseil régional, propriétaire de l’aéroport audois, doit la désigner, via une délégation de service public, lors d’une réunion de ses élus. Mardi à Montpellier, Christian Bourquin, le président de cette collectivité, avait défendu ce choix. « On n’a pas été élu pour faire décoller des avions », avait-il dit, ajoutant que Véolia Transport est le candidat qui avait « fait la meilleure proposition, la meilleure offre

de diversification ». « Véolia est l’opérateur qui s’est engagé avec le plus fort montant d’investissement et de maintenance. Nous avons fait le choix de la performance », avait-il poursuivi. Quatre candidats étaient en piste pour cet appel d’offres. Outre Véolia, concouraient la SNC Lavalin, Egis Projects avec Airport Strategy & Marketing qui s’est ensuite retiré, et le groupement Vinci Airports associé à l’actuel gestionnaire de la plate-forme audoise : la chambre de commerce de Carcassonne.

D’ici une semaine, un autre aéroport du Languedoc-Roussillon pourrait, lui aussi, passé sous pavillon Véolia : celui de Perpignan. Car le conseil de son syndicat mixte de gestion devrait avaliser, à son tour, le choix du nouvel exploitant de sa plate-forme aéroportuaire. La réunion se tiendra, en principe, jeudi prochain.

La Région est majoritaire dans ce syndicat mixte. Or, un rapport émanant de ses services a déjà filtré, alimentant la rumeur que Véolia Transport y figurait comme étant le meilleur candidat. À Perpignan comme à Carcassonne, les chambres de commerce ne cachent donc pas leur amertume. « C’est une décision administrative de technocrates », lâche Jean Caizergues, le président de la CCI de Carcassonne, compagnie consulaire qui a l’impression d’être débarquée, après avoir fait du bon boulot. Jean-Pierre Navarro, son homologue catalan, préfère, lui, continuer à croire que la proposition faite par sa CCI en association avec Vinci Airports a encore quelques chances : « J’espère que les élus du conseil syndical vont trancher en leur âme et conscience, qu’ils ne tireront pas une balle sur le travail que la CCI fait depuis 56 ans. »

L’argument ne devrait toutefois pas freiner l’expansion de Véolia Transport. Car la société a bien l’intention d’étendre encore un peu plus sa toile. Outre Nîmes qu’elle gère seule, la société est également délégataire avec les CCI locales des aéroports de Beauvais (Oise) et de Lille (Nord). L’entreprise briguerait à présent, en plus de Perpignan, l’exploitation de la plate-forme montpelliéraine, d’où l’État a décidé de se retirer. Bref, derrière l’ambition de l’entreprise, l’enjeu est de taille dans une région où les aéroports participent activement à la dynamique économique et touristique.

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 07:24

Hier, en compagnie de ma fille,

A la télévision,

J'ai regardé Fort Boyard.

 

D'épreuve en épreuve,

Les candidats tentaient d'obtenir des clés,

Qui, toutes ensemble,

Leur permettraient d'ouvrir une porte

Débouchant sur un pactole

destiné à une association caritative.

 

Seigneur,

nous autres, êtres humains,

Ne sommes-nous pas

comme des clés éparses

qu'il faut rassembler

pour ouvrir la porte de l'harmonie

et de la vie ensemble

sous ton regard?

 

Séparément, nous ne pouvons rien.

Aide-nous, ô Dieu,

A jouer la carte de la communauté,

Et non pas de l'individualisme.

 

Ici, dans cet aéroport,

Il est sans aucun doute vital

que nous formions une équipe soudée

pour que tout fonctionne parfaitement bien.

 

Pour ce faire, nous avons besoin de toi, Seigneur.

Aide-nous!

 

Amen

 

Texte d'Anniel Hatton

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 08:07

DSCN5001.JPG

De rêves en rêves

Certains réalisés, d'autres avortés,

La vie avance à petits pas.

 

Parfois, je crois faire du surplace,

Et même stagner ou reculer.

 

Pourtant, même si je ne le vois ni ne le ressens,

Le Seigneur me bénit en cascade…

 

Toutes petites, minuscules, infimes bénédictions,

Comme de minces filets d'eau presqu'imperceptibles,

Qui se rejoignent ensuite pour former un flot puissant.

 

Dans mon désert, Dieu se révèle en permanence,

source d'espérance et de joie inespérée,

Jaillissant de mes doutes et de mes actes manqués.

 

Vent de l'Esprit qui m'emporte au loin

sur un chemin de vie ascendant où le Père m'accueille

Donne-moi de savoir desserrer mes mains crispées

et de lâcher prise afin de te laisser me diriger.

 

Amen

 

Texte d'Anniel Hatton

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 12:50

Un salarié américain chargé de surveiller le radar d'un aéroport du Tennesse avait dormi cinq heures.

Les autorités de l'aviation civile américaine (FAA) ont indiqué mercredi avoir prouvé, pour la deuxième fois en deux semaines, qu'un contrôleur aérien s'était endormi à son poste de travail, a rapporté le journal local de Knoxville (Tennessee, Centre-Est).

Ce contrôleur était en charge de surveiller le trafic sur radar depuis l'aéroport de cette ville, le 19 février. Selon un porte-parole de la FAA cité sur le site internet du Knoxville News Sentinel, l'enquête a montré qu'il avait "délibérément" dormi pendant cinq heures de son temps de travail.

L'incident n'a pas eu de conséquence puisqu'un contrôleur se trouvant à un autre endroit a pris le relais de son collègue qui ne répondait pas.

Le fautif est en cours de licenciement, a indiqué la FAA.

Le 23 mars, un aiguilleur du ciel qui assurait seul les contrôles de la nuit à l'aéroport Reagan de Washington s'était endormi une vingtaine de minutes, forçant deux avions à atterrir sans instruction de la tour de contrôle, en suivant les procédures d'urgence prévues dans ce cas.

Le secrétaire aux Transports Ray LaHood avait alors ordonné à la FAA un état des lieux du personnel chargé des contrôles dans tous les aéroports du pays.

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Published by Aumônerie protestante des aéroports - dans Actualité aéronautique et aéroportuaire
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 18:53

Parler des aéroports, les médias le font chaque jours: Abidjan ou Benghazi, Narita - à Tokyo - ou Charles de Gaulle à Paris, l'aéroport est toujours le lieu où l'on passe, rarement celui où l'on s'arrête. Il est donc important de signaler celles et ceux qui prennent la peine, sans y être contraints, de se poser une minute, une heure, un jour danscet endroit ô combien vivant et d'y ressentir, d'y observer, d'échanger. C'est le cas de Sketch Up Compagnie, une troupe théâtrale qui joue depuis presque deux ans "Airport Chapel", une comédie écrite par Olivier Arnera et David Schwaeger. En voici le synopsis:

 

"En ce début de millénaire, notre monde ressemble un peu à un aéroport international,

où se côtoient les identités, les cultures et les modes de pensée les plus divers.

Pour ne pas s’ennuyer une fois les bagages déposés, chacun peut consommer

allégrement dans les brasseries, les boutiques duty-free, les relais-presse ou encore dans

les salons privés pour hommes d’affaires.

Mais, un peu à l’écart de ces réjouissances, se tient parfois une petite chapelle

d’irréductibles croyants, qui accueille tous les passagers en quête de silence, de repos ou

de spiritualité. Un espace unique où s’échangent les différentes expériences et

convictions.

Kalvin Sissoko, jeune étudiant en théologie, débarque pour un stage très spécial à

l’intérieur de cette petite Tour de Babel.

A travers son personnage, le Calvinisme d’Afrique rencontre les altérités radicales.

Avec cette création originale, la compagnie Sketch’Up Productions continue à favoriser un

théâtre de médiation et pose un nouveau regard, décalé et décapant sur le dialogue

interreligieux et questionne les nouveaux territoires du « croire ».

Avec « Airport Chapel », vous ne verrez plus la religion (et ses représentants) comme

avant !"

 

Utiliser ce lieu particulier qu'est l'aéroport comme un prisme permettant un nouveau regard sur les religions, l'idée était intérressante mais il fallait oser. Une belle réussite à voir si la troupe passe près de chez vous!

 

Plus d'informations en cliquant ici!

 

Airport-Chapel.jpg

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Published by Aumônerie protestante des aéroports - dans Evénements
5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 18:17

For the Rev. Michael Zaniolo, Ash Wednesday is the busiest day of the year. He's the head chaplain at Chicago's O'Hare International Airport, which had three Masses and 14 different ash ceremonies.

The Catholic chaplain at JFK Airport speaks to WSJ's Andy Jordan about ministering to people "on the fly".

Here, services can't go longer than 30 minutes to fit into workers' breaks. He has his "regulars" at services—airport workers and airline employees as well as travelers who have made going to church part of their layover routine at O'Hare. He hears confession from many every day.

"They carry around a lot of spiritual burdens, and I'm a convenient guy," he says. "I can help people get things out of their system or see things in a different perspective, or see where God might be."

At least 140 airports around the world have designated chapels, and more than 250 have airport chaplains, according to the International Association of Civil Aviation Chaplains, an ecumenical non-profit organization. While chaplains are among the first-responders in the event of a crash, day to day they spend their time offering solace to travelers, consoling the bereaved, hearing confession or offering blessings to passengers before they board airplanes.

"It's a ministry of presence," says the Rev. Chris Piasta, a Roman Catholic chaplain at New York's Kennedy International Airport. "Years ago people enjoyed flying. Nowadays, no one talks about an enjoyable experience anymore."

Airport chaplains counsel people through the stress of both flying and daily living. Some travelers are filled with anxiety because of circumstance—they are on their way to funerals, medical treatment or family emergencies, for example. Many don't have the time to go to church, synagogue or a mosque. So the faith institutions have come to them. Chaplains roam through airport train and tram stations, control towers and gate areas.

"We're trying to be where people are at and move with people," says Rabbi Bennett Rackman, who works out of JFK and hosts lunchtime study programs for workers, leads prayer sessions for Jewish travelers and offers blessings for youth groups about to depart to Israel. He believes JFK's synagogue is the only airport synagogue in the western hemisphere.

Tending to Travelers[SB10001424052748703453804576191062447477544]
Sally Ryan for The Wall Street Journal

The Rev. Michael Zaniolo led Mass on Ash Wednesday at Chicago's O'Hare International Airport chapel.

At JFK, four chapels sit side by side: Roman Catholic, Protestant, Jewish and Muslim. The location, on the fourth floor of Terminal 4, is outside security and well outside the mainstream passenger flow, but it still gets a steady stream of people who want to pray. The busiest chapel, JFK chaplains say, is the multi-faith chapel now outfitted as a mosque, with prayer rugs and signs that point toward Mecca.

The first airport chapel was established in Boston in 1951, and the idea spread as a way to comfort fearful travelers. Even though crash rates have improved dramatically over the past 60 years, safety remains a concern for many airline passengers.There have been times when airports or airlines have asked chaplains to lend a hand.

O'Hare's Father Zaniolo, for example, sometimes assists in crowd control. When passengers turn angry at gates because of airline messes, gate agents sometimes summon him because the collar can quiet the crowd. "One ticket agent told me, 'They act like human beings when you are here,' " he says.

Airport chaplains sometimes walk a fine line separating church and state. Since most airports are government-run, some airport administrators are reluctant to support religious services.

The Jacksonville, Fla., airport, for example, has a chapel but doesn't allow religious iconography or texts, doesn't sanction official airport chaplains and doesn't allow clergy to use the airport public-address system for announcements.

Somali immigrants pressed the Minneapolis-St. Paul International Airport for a private prayer room after six imams were removed from a plane in 2007 after praying in public. But the airport declined to offer a room designated for any particular religion. The airport doesn't have a chapel or prayer room, a spokesman said, but does have two quiet seating areas for reading, relaxing, meditating and praying.


MIDSEATjp
Sally Ryan for The Wall Street Journal

Jay Goeppner, a fleet clerk with American Airlines, attends Mass on Ash Wednesday at O'Hare's airport chapel. Mr. Goeppner says he has been a regular visitor at the chapel for 14 years.

Most chaplains avoid conflict by drawing salaries from local dioceses or establishing non-profit organizations to fund their work. Many hold fund-raisers and get support from local faith institutions, airport concessionaires and the airlines in the form of free tickets to raffle off.

Jonathan Baldwin, chaplain at London's Gatwick Airport and president of the IACAC, has been in crisis mode frequently through ash cloud disruptions, blizzards and, most recently, repatriation flights inbound from Libya, with de-planing passengers recounting stories of atrocities they saw.

"If they spot the collar and they are Christian, they may want to talk," said the Anglican priest. He regularly visits the airport's control tower and fire station, airport hotels and other venues where workers and travelers can be found. "Loitering with intent, we call it," he says.

When flights are canceled, some chaplains even provide assistance, from money for hotel rooms to clothing for some people stuck at the airport for several days.

At Atlanta's Hartsfield-Jackson International Airport, the Rev. Chester Cook, a United Methodist minister, says he often lobbies airline supervisors and station managers to waive fees or penalties for people in dire straits. If that doesn't work, local religious groups provide funds to help travelers in need, whether it's paying $100 for a bus ticket, $40 for a motel room or helping cover an airline change fee or baggage fee. Airport concessionaires also let the chapel offer airport employees a discount card good at airport restaurants in exchange for a donation to raise assistance funds.

Travelers who have had wallets or bags stolen are often directed to the Rev. Cook, who is actually an employee of the city's Department of Aviation and considered a customer-service agent for Hartsfield. He and other chaplains also work with large contingents of U.S. soldiers who pass through Atlanta every day

"Spiritual and humanitarian blur when people are going through crisis," he says.

When tragedy strikes families and someone has to inform travelers of terrible news, chaplains get the call.

Father Zaniolo recalls one day when he was beside a couple when they received the news that their daughter had committed suicide. "They couldn't be consoled. It was so hard," he says. In another instance, he informed a flight attendant whose eighth-grade son had been hit by a train and killed in Florida. His role in both cases was to help people get calm enough so they could travel back home.

"Those aren't bad days. Those are days when people need me," says Father Zaniolo.

Write to Scott McCartney at middleseat@wsj.com

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 13:07

avocatL’avocat et pasteur protestant, Nguyen Van Dai, a été libéré le 6 mars 2011, au terme de 4 années de prison. Il devra encore purger 4 années d’assignation à résidence.

Les autorités communistes vietnamiennes ont relâché l’avocat chrétien des droits de l’homme Nguyen Van Dai, condamné pour "propagande contre l’état communiste" en mai 2007.

Le fondateur du Comité des Droits de l’Homme au Viêt Nam est connu pour son engagement en faveur de l’église protestante Memmonite persécutée par le régime.

Les autorités vietnamiennes n’ont pas apprécié ses articles sur la démocratie et la liberté de la presse au Vitnam.

Trois mois après avoir reçu le prix Hellmann/Hammett de Human Rights Watch pour son combat politique, Nguyen Van Dai est arrêté en mars 2007 et placé en détention préventive.

Il est condamné le 10 mai 2007 à cinq ans de prison. En appel, sa peine est ramenée à 4 ans de prison ferme et 4 ans d’assignation à résidence. Cette sentence n’a pas encore été révoquée jusqu’à présent.

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